Qui sommes-nous ?

I

Je suis Maguy et la perte de mon enfant, Alain, qui me surnommait "Causette", m'a amenée à créer cette association.


  

POEME D'ALAIN

Ne pleure pas Causette
 Maintenant je ne souffre plus 
 Tu es restée avec moi 
 Tu m'as soigné 
 Tu m'as aidé 
 
 Ne pleure pas Causette 
 Je suis parti le 3 novembre 2005, après d'énormes souffrances 
 Le jour où j'ai rejoint Mère Nature, je suis venu te chercher 
 Tu dois aider les autres, tu dois rester, tu m'as promis 
 
 Ne pleure pas Causette 
 Nous sommes ensemble et main dans la main
 Nous allons les aider 
 Nous allons les accompagner 
 
 Ne pleure pas Causette 
 Ton sourire apportera le soleil, à ceux qui ne le voient plus
 Transformer tes larmes en rire, te va si bien !

Notre but

J'ai mis du temps mais maintenant, je sais comment, par mon vécu et avec l'aide des membres de l'association nous allons ensemble, pour ceux qui le veulent, vous soutenir afin de continuer à vivre avec ce manque et dans la mesure du possible transformer vos larmes en rires. Nous mettrons tout en œuvre pour vous apporter l'aide nécessaire à votre bonheur
 "Parce  n'est qu'avec d'autres  qui savent, qui ont dû faire face à cette catastrophe, que l'on peut partager, sans retenue, de façon vraie, humble et la parole et l'émotion" Dominique Davous 

Notre histoire

Je m’appelle Maguy et il m’appartient d’apporter mon propre témoignage.
Les lignes qui suivront me coûtent beaucoup car elles retracent, en raccourci, un chemin dont le seul Souvenir me réduit au désespoir. Heureusement, comme vous le verrez, des évènements ont adouci l’acuité de la douleur et j’espère ici apporter un peu de consolation à tous ceux et celles qui ont vécu « l’Indicible ». 
Venons-en aux faits :
A 18 ans j’ai mis au monde un magnifique bébé prénommé « Alain ». ce fut une enfance remplie de bonheur grâce à notre complicité et amour réciproque. Son père étant très absent cela nous amenait à une fusion totale. La vie était belle jusqu’au jour où nous avons appris le pire : Alain était atteint d’une grave maladie mettant sa vie en danger. Nous devions lutter ensemble. C’est ce que nous avons fait pendant de longues années qui nous ont soudés à jamais.
Je n’insisterai pas sur ces temps chaotiques, car ce que je veux donner c’est de l’espoir et non de la tristesse. 
Le jour de son enterrement j’ai eu un malaise sur mon lit, et j’ai fait une sortie de corps. Le mur en face de moi s’est ouvert et j’ai vu Alain qui me tendait la main en me disant «  viens maman ». C’est alors que la voix de mon défunt père est intervenue en disant « Non laisse la, elle doit maintenant aider les autres «. Ce fut un choc. A partir de ce moment-là  tout a été bouleversé dans ma vie. C’était un tourbillonnement de questions dans le brouillard dont je pensais ne jamais sortir jusqu’au moment où de nombreux signes se sont manifestés. De signe en signe j’en vins à l’écriture automatique me confirmant les messages de mon fils et sa demande expresse de créer une association , à baptiser « Causette » du nom qu’il me donnait de son vivant en se moquant gentiment de moi. Que devais-je faire ? Je lui ai obéi. L’Association m’a aidée à survivre. Ses messages n’ont cessé de m’accompagner et si le chagrin et le manque sont toujours en filigrane dans ma vie quotidienne, il y a aussi, indélébile, l’assurance que la vie terrestre n’est qu’un passage obligé avant la renaissance dans un Royaume d’Amour où nous apprendrons encore beaucoup de choses dans un bonheur total exempt de jugement et d’avanies.
De tout cœur je suis avec vous pour partager cette Espérance et tout faire pour la mériter.          
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Durant sa maladie, de bons moments et de terribles  qui ont duré 12 ans.
J’ai eu le bonheur de rester à ses côtes  jusqu’à la fin et lors de son départ
 j'ai fredonné la petite berceuse que je lui chantais Bébé  pour    qu’il s'endorme 
 "le petit train qui roule roule en faisant peur à Madame les poules tshi  tshi pou tshi  tshi pou pou pou 
 Hélas,  il est parti,  mais en riant aux éclats et je suppose qu’il pensait: " ma mère me chante une berceuse à 39 ans".

Par la suite, j’ai eu des messages de l'au delà  pourtant à l’époque j’étais plutôt septique et tellement dans le déni  de nombreux signes sont apparus
un sous verre avec la photo  D’Alain et de  chaussette qui était sur la télé tombe sans  se   casser 
Entretien avec Mme pigeon (Médium) 
Un jour, j' entre dans une librairie je cherche un livre  devant moi un   s’avance   je  regarde son titre  "ECRITURE AUTOMATIQUE  "je l’achète et ce sera le  livre qui  va me rassurer concernant   les  messages  transmis par  mon fils.

parmi ces  massages   TU DOIS AIDER LES GENS et créer  une association  qui s'appellera CAUSETTE (causerie)   et un clin d'œil au sur nom  qu'il me donnais "Cosette" car enfant,  j'allais chercher l'eau à la fontaine, qui était très bonne et très fraîche.

Grâce à cette Association je survis 

Depuis, je reçois  des explications sur le départ vers l'au- delà
 la corde d’argent qui se détache, les paysages magnifiques, plein de  messages d'amour et une phrase qui  revient souvent " ICI PLUS DE JUGEMENT" 
Comme c’est rassurant de savoir  que la vie continue après la mort. 
Nous ne venons pas au monde pour enterrer nos enfants