Souhaiter ses vœux à ceux que l'on apprécie... Un moment  d'amitié émis en toute honnêteté Un instant privilégié d'une rare intensité Cri de la Vie n'ayant pas de prix Entendu et émis par tous ceux qui ont compris Son importance et la chance immense De pouvoir en vibrer de tous ses sens Étape tendre et colorée dans un monde souvent gris Instant de sursis dans des chaos sans mercis Petit geste gratuit guérissant les pires maux Énorme flux d'énergie propulsé en une seule occasion Sage résolution permettant de libérer Partage et pardon Puisque j'ai la chance et le bonheur de vous apprécier, Nous vous la souhaitons  pétillante à souhait cette nouvelle Année. Alain et Chaussette. 
 un bilan bien positif ! Voilà une page annuelle  que l'on va pouvoir tourner avec un petit goût de « déjà fini ».  puisqu'il est permis de rêver pourquoi pas la même pour la prochaine. Professionnellement, c'est au mois de juin que la chance m'a invité à prendre place parmi ses élus et que j'ai commencé à travailler dans une entreprise ma foi comme on espère trouver où les heures de travail ressemblent incroyablement à une douce partie de plaisir. Les semaines se sont chevauchées avec subtilité et délicatesse à un point que Noël est arrivé presque avant l'heure. Le mimosa de février par son parfum me prépara à un tel dénouement.



V

Parole d’espérance de Saint Augustin :
« Tu me reverras donc, transfiguré par l’extase et le bonheur, non plus en attendant la mort, mais en avançant d’instant en instant. Avec toi qui me tiendras la main, dans les sentiers nouveaux de la lumière et de la vie, buvant avec ivresse auprès de Dieu, un breuvage dont on ne se lasse jamais et que tu boiras avec moi. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m’aimes. »


La Prière « Ne pleure pas si tu m'aimes » de Saint Augustin :
« Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux. Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent. Quoi, tu m'as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et, quand un jour que Dieu connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédée la mienne, ce jour-là tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidèles aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m'aimes. »

Saint Augustin (354-430)